L’actu des luttes - Radio Parleur
News:Politics
Ce premier décembre, il y a 3 ans déjà, c'était l'acte 3 des Gilets Jaunes. Plusieurs centaine de milliers de personnes défilent dans toute la france, une prefecture est incendiée au Puy en Velay et, à Marseille, Zineb Redouane 80 ans décède touchée par un tir de grenade lacrymogène. Alors trois ans après, qu’est devenue la colère des Gilets Jaunes?En Janvier 2019, Commercy avait accueilli la première Assemblée des assemblées et l'Actu des Luttes était sur place. On vous propose donc un retour dans la Meuse pour mesurer l'héritage des GJ, ce qui s'est transmis et surtout ce qui s'est construit.
SOUTENEZ NOTRE CAMPAGNE DE DON ! Objectif : 20 000 euros, Radio Pa lreur à besoin de vous pour rester un média libre et indépendant.
Un épisode de l'Actu des Luttes présenté par Martin Bodrero, reportage : Lou Bonnefoy. Identité sonore Actu des Luttes : Etienne Gratianette (musique/création) et Elin Casse, Antoine Atthalin, Romane Salahun (voix)
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La "Génération Adama" tient la rue contre les violences policières
Oublié·es dans les coulisses de la culture, les intermittent·es s’impatientent
INVISIBLES - épisode 4 : le personnel d’entretien
Justice pour Adama : une démonstration de force malgré l'interdiction
Quel avenir pour les brigades de solidarité ?
Quand la crise sanitaire aggrave la précarité menstruelle
Une grève des loyers risquée pour des locataires précaires
Comment manifester sans manifester ?
Marche blanche pour Sabri, entre calme et colère
INVISIBLES - épisode 3 : les éboueurs
Pendant le confinement , état d'urgence sanitaire et libertés confinées
Seine-Saint-Denis : une chaîne humaine déconfinée contre les violences policières
Déconfinement : une reprise de l'école à marche forcée
Gilets Jaunes : "Notre colère n'est pas confinée"
Économie : face à la pandémie, le retour de « l’argent magique »
INVISIBLES - épisode 2 : le personnel des magasins
Travail du sexe : "C'est mourir de faim ou mourir du Covid"
La manifestation impossible du 1er mai pour les colères déconfinées
Pour les exilé.e.s, un "accueil de merde" aggravé par la pandémie
Covid-19 : « A Mayotte, les gens ont peur de mourir de faim, pas du virus »
Create your
podcast in
minutes
It is Free