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Les questions de cette interview:
Vous parlez des différentes thérapies pour traiter les traumas. Qu’est-ce qu’un traumatisme ? Que peut-on qualifier de traumatisme ?
Comment un traumatisme agit sur le cerveau et en soi et qu’est-ce que le stress post traumatique ?
Peut-on souffrir de stress post traumatique après une longue période traumatique comme une enfance où l’on a subi de la maltraitance par exemple ?
Quelles sont les thérapies qui peuvent nous en délivrer ?
Vous parlez de la technique NDR pour traiter les cauchemars. Pourquoi fait-on des cauchemars ? Pourquoi les cauchemars peuvent-ils perdurer des années après un traumatisme ? Et comment fonctionne cette thérapie NDR ?
On connait tous aujourd’hui les fameuses blessures émotionnelles popularisées par Lise Bourbeau que sont les blessures d’abandon, d’injustice, de rejet, d’humiliation, et de trahison.
Dans le langage du psychiatre que vous êtes, que sont ces blessures et comment peut-on les guérir ?
Vous parlez également de la dépression. Quels sont les symptômes d’une dépression ? et comment faire la différence avec une déprime passagère ?
Quelles sont les nouvelles thérapies qui sont efficaces dans le traitement de la dépression ?
Vous parlez de Jung dans votre livre et du fait qu’il n’est pas ou peu étudié dans le cursus de psychologie à la fac. Pourquoi selon vous ? Et quels sont ses apports majeurs à la compréhension du psychisme humain ?
Pouvez-vous nous expliquer cette découverte passionnante de la fin des années 90 : le réseau mode par défaut du cerveau. Qu’est-ce que c’est ?
Vous consacrez une partie de votre livre au formidable espoir que sont les psychédéliques dans le traitement notamment des dépressions et des addictions. Pouvez-vous nous donner les grandes lignes des résultats constatés ?
Comment agit la prise de psychédélique sur le cerveau ?
La méditation agit-elle de la même manière mais sur du long terme ?
Y’a-t-il d’autres moyens pour désactiver le mode par défaut du cerveau et acquérir cette distance de l’ego qui permet de se désengluer des névroses associées ?
Enfin vous parlez de l’importance du thérapeute que l’on choisit dans un travail thérapeutique. Vous écrivez dans votre livre pour décrire l’alchimie thérapeutique : « parce que c’était lui, parce que c’était moi ».
Pourquoi ce choix est-il primordial dans la guérison ? En quoi la relation répare ?
Musique Pixabay, Olexy (The best of nature) : https://pixabay.com/music/solo-guitar-the-beat-of-nature-122841/
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