Il commence à être assez bien établi que la qualité de l’air que nous respirons pourrait, avec le temps, ne pas être anodine sur la santé de notre organisme, tout autant que sur celle de notre cerveau. En effet, certaines fines particules présentes dans l’air peuvent passer de nos poumons, à notre sang et de notre sang à notre cerveau. Mais si une mauvaise qualité de l’air pourrait à long terme ne pas être sans conséquence sur la santé et le fonctionnement du cerveau d’un adulte, qu’en est-il pour les tout jeunes nourrissons chez lesquels le cerveau est en plein développement ?
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