Le fait d’être vigilant et prudent, organisé et efficace ou le fait d’avoir facilement tendance à éprouver des émotions puissantes et désagréables comme la colère ou l’inquiétude peut-il jouer un rôle sur le risque que l’on court d’être, un jour, atteint d’une déficience pathologique des fonctions cognitives comme c’est notamment le cas dans la maladie d’Alzheimer ?
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