« Le tueur de l’ombre » suivait toujours le même rituel lors de ses assassinats : assommer la victime, la poignarder, lui tirer une balle dans la nuque ou dans la tête avec un 22 long rifle, puis la déshabiller depuis les pieds jusqu’au-dessus de la poitrine. Ajoutez à cela que Marcel Barbeault faisait une fixation sur les femmes aux cheveux noirs ou bruns, un trait bien caractéristique de certains tueurs en série qui privilégient souvent un profil ou un trait physique particulier.
A cause de lui, entre 1969 et 1976, la psychose régna dans la petite ville ouvrière de Nogent-sur-Oise, empêchant ainsi beaucoup de femmes de s’aventurer dans la rue à la nuit tombée, même dans un périmètre proche.
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