L’intégral : le portrait d’Omar Victor Diop, le festival Banlieues Bleues et le live de Francis Bebey en 1995
Jeanne Lacaille retrace le parcours du photographe et ex-expert comptable sénégalais
Omar Victor Diop, qui célèbre par son art une Afrique dynamique, mobile et créative. Il est aussi l’auteur des visuels de la Saison Africa 2020.
A 41 ans, Omar Victor Diop incarne le nouveau visage de la photographie africaine contemporaine. Pourtant, il ne commence la photo qu’en 2011, après une carrière dans le milieu des affaires et de la finance.
Tout s’enchaîne très vite : de sa première série “Le Futur du Beau” où il photographie des modèles dans une garde-robe réalisée à partir de déchets recyclés, à sa série Studio des Vanités en 2013 et ses portraits de figures historiques africaines acquises par la Fondation Louis Vuitton, Omar Victor Diop est très prolifique.
Il prépare une nouvelle exposition intitulée “Héritage” qui ouvrira le 17 avril prochain à la galerie Magnin-A à Paris, dont les œuvres sont dédiées aux grands portraitistes du continent africain. Le photographe poursuit la mission qu’il s’est donné : inspirer les enfants d’Afrique à s’aimer tels qu’ils sont, eux, leurs racines et leur histoire.
Musikactu
#StopAsianHate ! Depuis l’apparition de la pandémie de la Covid19 et les invectives de Trump qui renommait le coronavirus “China virus”, les communautés asiatiques se sont retrouvées bouc émissaire de la peur.
Les agressions et crimes contre les asiatiques sont de plus en plus fréquents, et le 18 mars dernier, à Atlanta un homme de 21 ans a fait feu dans 3 spas et a fait 8 victimes, dont 6 femmes d’origine asiatique (chine et corée). Cet événement a déclenché une vague de manifestations et de soutien à l’égard des asian-american, non seulement aux Etats-Unis mais partout dans le monde.
A New York des rappeurs prennent la parole et le micro : MC Jin, ex-Ruff Ryder, entonne son hymne “Learn Chinese” devant la foule, tandis que son ancien rival China Mac dédie plusieurs couplets à la question dans son morceau “They Can’t Burn Us All”.
Amérique, chère Amérique
Pourquoi la haine a-t-elle des racines si profondes en Amérique ?
Pourquoi est-ce qu’ils veulent me tuer, en Amérique ?
Est-ce moi ? ou est-ce que c’est parce qu’ils ont peur de nous ?
https://www.youtube.com/watch?v=u77CPrBn9VQ
D’ici et d’ailleurs
A l’occasion de la 38ème édition du festival de jazz de Seine Saint-Denis “Banlieues Bleues”, Bintou Simporé reçoit son directeur Xavier Lemettre. Il explique comment, face aux restrictions actuelles, ce festival qui reçoit généralement des artistes du monde entier et anime tout le département s’est mobilisé et s'est métamorphosé.
Banlieues Bleues aura lieu en ligne à partir de ce 9 avril 2021, avec huit concerts filmés d’artistes de tout horizon, comme le quatuor Limousine, la création cubano-brésilienne Medusa de Felipe Cabrera avec son trio et la chorégraphe cubaine Judith Sanchez Ruiz, la plateforme Terra Incognita initiée par l’oudiste et compositrice palestinienne Kamilya Jubran avec Floy Krouchi et Youmna Saba, ou encore le nouveau trio Mademoiselle de Rodolphe Burger, Sofiane Saidi et Mehdi Haddab. Plus d’informations sur la programmation ici.
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En direct du quartier de Poblenou à Barcelone, Néo Géo reçoit un message de Marushka Vidovic, ex MC de nova et directrice de...
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