Notre convoi ne devait pas passer inaperçu, les filles criant en chœur le nom du petit chat de Géraldine.
— Je sais qu’il reconnaît son nom, m’a dit Géraldine, ou au moins ma voix, car la dernière fois qu’il s’était perdu je l’ai retrouvé en l’appelant et il a surgi d’un buisson. C’était près des tennis, mais cette fois, je crois qu’il est parti beaucoup plus loin.
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