Depuis que nous sommes rentrés de Bretagne, nous guettons la première hirondelle. En général, elles arrivent à Paris fin avril. Nous nous adonnons à cette activité d’observation le soir, lorsque nous sommes à table et que nous voyons le ciel dégagé par la fenêtre.
Nous ne nous disons pas « Tiens et si on observait le ciel maintenant ! » entre la soupe et le fromage. Cela ne se passe pas comme ça, c’est plus spontané. En général, ça commence lorsqu’une des filles, la fourchette à la main, remarque un pigeon ramier qui s’envole de l’arbre en face de chez nous.
La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!
view more